En quelques mots, l’espace public et donc tout ce qui le compose, du mobilier urbain aux espaces verts, est avant tout un espace défini par le droit, comme non bâti, public et ouvert à tous. Il résulte des choix successifs d’organisation spatiale et sociale, en héritage ou en rupture avec l’histoire de la ville. Loin d’être considéré comme de simples espaces vides résiduels entre des objets architecturaux, il est constitutif d’un paysage composé d’éléments naturels ou urbains, fruit de l’intervention d’acteurs publics et privés. Ce processus de construction permanente produit des espaces ressentis, vécus, pratiqués et marqués par les usages. Ils sont le théâtre de multiples pratiques dont les interactions en font des lieux de frottement social, voire de confrontation et dans tous les cas des lieux à priori accessibles à tous. Le territoire municipal se perçoit alors à travers des sensations et des émotions que génèrent ces espaces. Ils deviennent ainsi porteurs de nombreuses identités qui participent à celle du territoire.
L’identification précise de son offre permet de clarifier ses objectifs d’aménagement comme ici à Aubigné-sur-Layon.
En quelques mots, l’espace public et donc tout ce qui le compose, du mobilier urbain aux espaces verts, est avant tout un espace défini par le droit, comme non bâti, public et ouvert à tous. Il résulte des choix successifs d’organisation spatiale et sociale, en héritage ou en rupture avec l’histoire de la ville. Loin d’être considéré comme de simples espaces vides résiduels entre des objets architecturaux, il est constitutif d’un paysage composé d’éléments naturels ou urbains, fruit de l’intervention d’acteurs publics et privés. Ce processus de construction permanente produit des espaces ressentis, vécus, pratiqués et marqués par les usages. Ils sont le théâtre de multiples pratiques dont les interactions en font des lieux de frottement social, voire de confrontation et dans tous les cas des lieux à priori accessibles à tous. Le territoire municipal se perçoit alors à travers des sensations et des émotions que génèrent ces espaces. Ils deviennent ainsi porteurs de nombreuses identités qui participent à celle du territoire.
Clarifier son offre touristique
La prise en compte de l’ensemble des dimensions de la ville permettra de renforcer l’offre touristique. Le patrimoine culturel à lui seul ne suffit pas. Il est essentiel d’y associer les différentes composantes du territoire, du patrimoine au paysage en passant par la gastronomie, les événements, la mise en lumière... Il est donc essentiel de mener un travail d’identification de son offre qui permettra de définir celles qui sont reconnues de celles qui ne sont pas encore exploitées, de préciser si cette offre est explicite, son degré de mise en valeur, de diversification, de continuité…, de répertorier l’ensemble des prestations fournies aux touristes et évaluer les atouts et les faiblesses de l’offre existante.Quelques méthodes d’analyse de l’offre et du potentiel touristique
Analyse documentaire : Dépouillement et analyse des sources documentaires (ouvrages, périodiques, études de référence, monographies thématiques ou locales, données statistiques…)
Diagnostic de terrain : Inventaire de l’offre touristique existante (patrimoines, éléments naturels, événements, gastronomie…) mise en place d’une hiérarchisation.
Méthode comparative, ou benchmarking : Comparaison du projet ou de la problématique avec d’autres situations similaires. Pour être pertinente, la comparaison doit prendre en compte des variables d’ajustement relatives à la diversité des contextes (géographiques, identitaires, sociaux…). Il peut s’agir également d’identifier une offre voisine dans une démarche de complémentarité.